L'homme d'aujourd'hui se sent bien souvent "coupé" de la nature. Il n'est plus tributaire des caprices du climat, ou du cycle des saisons et, de fait, à renoncé à la plupart des rituels qui exprimaient autrefois sa relation intime avec la Terre.
Pourtant les peuples ont de tout temps eu l'intuition que l'univers sensible était gouverné par une force vitale, spirituelle, qui lui donné son unité.
Nos lointains ancêtres envisageaient la Terre comme un créature vivante douée d'une âme identique à celle de l'être humain.
Respecter le caractère sacré de la Terre, c'est reconnaître qu'elle est en rapport avec l'harmonie de l'âme individuelle.